Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestui-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !

Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m'est une province, et beaucoup davantage ?

Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine :

Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l'air marin la douceur angevine.

Si vous la connaisser,Dites le moi par comm' ;)

Tu es brillante,
Et étincelante,
A la rosée
Tu t’embellifies

Mais un jour,
Par amour,
Tu va t’éteindre
Sans geindre

Pour donner
La vie à d’autres
En perdant la teinne
A tout jamais

Que veux tu que je te dise
Que je te fasse une bise ?
Ou peut-être un mot doux...
Ou bien un petit bout ?

Tu as un coeur en or
Donc dans le mien tu vas y trouver une place
Tu n’y seras jamais enlevé
Tu ne seras pas jeté par dessus bord

J’aimerais t’enlacer
Juste un dernier baiser
Tu seras loin de moi,
Mais ne t’inquiète pas,
Je ne t’oublierai pas.